Nom: Massini
Prénom: Hermy
Caractère: (avec défauts et qualités) D’un naturel joyeux, enthousiaste et optimiste, Hermy mordait dans la vie à pleines dents. Grande romantique, elle croyait fermement au grand Amour et était fascinée par les étendues d’eau. Rêveuse, elle partait souvent dans son monde, monde onirique où tout était possible et inspiré par ses lectures. Car il faut bien signaler que c’était un vrai rat de bibliothèque. Amoureuse des Arts (et surtout de la littérature) et de l’Histoire, Hermy était une jeune fille cultivée.
Le cœur sur la main, elle volait au secours de quiconque en avait besoin et aurait donné jusqu’à sa vie pour ceux qu’elle aimait. Et gare à celui qui s’en prenait à sa famille ou à ses ami(e)s car, dans ce cas là, elle entrait dans des colères spectaculaires. Hermy, qui avait un sens assez aigu du bien et du mal, de la justice, ne supportait pas la cruauté ou les injustices manifestes. Impulsive, elle réagissait le plus souvent du tac au tac. Egalement susceptible a ses heures, la jeune fille avait plutôt un caractère fort.
Courageuse et téméraire à ses heures, elle ne reculait que rarement devant le danger. La jeune fille, depuis l’âge de cinq ans, avait cependant une peur panique et inavouée : elle ne supportait pas la vue d’un loup, mais ne pouvait retrouver l’origine de ce traumatisme.
Sociable, Hermy était néanmoins timide et réservée et cherchait donc à se faire le plus discrète possible. Excessivement secrète, elle ne se confiait que difficilement, cherchant toujours à cacher quand quelque chose n’allait pas. Sensible et trop émotive, elle était facilement choquée.
En fait, ses qualités se révélaient souvent être ses défauts car elle se montrait souvent excessive, dans ses relations avec autrui comme dans ses réactions face au moindre événement.
Description physique: Hermy était une grande et mince jeune fille. Ses yeux verts reflétaient souvent ses émotions, mais elle savait aussi garder une expression impassible, voire froide et distante quand elle l’estimait nécessaire. Son regard se faisait souvent rêveur, flottant dans le vide. C’est à cela que ses proches pouvaient savoir qu’elle était dans son monde. Ses longs cheveux châtains étaient ondulés et soyeux. La jeune fille les laissait le plus souvent flotter sur ses épaules. Sinon, elle les nattait. Son teint hâlé par le soleil d’Italie indiquait, aussi sûrement que son nom, ses origines.
Histoire: (soyez créatifs) : Hermy naquit à Florence et passa le plus clair de son enfance dans la vaste demeure familiale de la campagne toscane. Enfance heureuse, grâce à des parents et des frères et sœurs unis et aimants. Car il aurait pu en être tout autrement : son père, Luigi, s’absentait souvent, partant régulièrement en mission (parfois longues) et des grands-parents paternels qu’elle n’avait que très peu connus car ceux-ci avaient presque totalement rompu les relations avec leur fils le jour où il s’était marié. Hermy s’opposait violemment aux idées de ses grands-parents paternels. Elle eut l’occasion de beaucoup voyager, allant voir sa famille maternelle qui était dispersée en France et en Argentine. Le plus clair de ses journées, lorsqu’elle ne faisait pas les 400 coups avec ses deux sœurs, se déroulait dans la gigantesque et merveilleuse bibliothèque familiale. A peine sut-elle lire, qu’Hermy découvrit le pouvoir de la lecture et de l’imagination sur l’être humain… Elle s’enferma bien vite dans un monde onirique dont seuls ses proches détenaient la clef… Lorsqu’elle entra à Poudlard, elle changea légèrement et cessa, lorsque tout allait bien, de rester coupée du monde extérieur.
Lorsqu’elle eut trois ans, sa grand-mère maternelle lui enseigna à jouer du piano. Hermy se révéla bien vite douée pour la musique et commença à exprimer ses sentiments par son intermédiaire. Elle apprit toute seule à jouer de la flûte de pan andine et commença, à cinq ans, à jouer de la guitare avec l’aide de son père. Bientôt, elle sut jouer des airs traditionnels (italiens, sud-américains et français) sur ces deux instruments.
Un jour, alors qu'elle avait cinq ans et qu'elle se promenait dans une forêt avec une amie d'un an plus âgée qu'elle et sa famille, elle et son amie s'étaient un peu attardées derrière. Soudain, un loup les attaqua, enfin attaqua l'amie d'Hermy... Les pouvoirs magiques de l'italienne se montrèrent ce jour-là pour la première fois. De ce fait, elle put fuir avec son amie des loups. Mais, la trace, le traumatisme de cette rencontre resta gravé en elle et lui fit développer une peur panique des loups. Ce souvenir fut bien vite enfouit au fin fond de son inconscient, et de ce fait, Hermy ne connaissait pas l'origine de sa peur des loups...
Famille: Ah sa famille ! Longue histoire… Commençons par ses grands-parents paternels dont l’union consacra l’alliance de deux vieilles familles de sorciers toutes deux attachées à la « pureté » du sang. Cathy, la grand-mère, était anglaise, digne descendante d’une famille de Serpentards et Giuseppe, le grand-père italien, attiré (comme ses ancêtres) par la magie noire. On comprend comment, avec un fils auror marié à une sorcière d’origine moldue et aimant tendrement son épouse, les relations avec cette partie de la famille furent bien distantes. La mère d’Hermy, Isabel Meaulnes était franco-argentine et était langue de plomb.
Hermy avait un grand-frère, Gianni, qui avait fait ses études à Poudlard et devint auror l’année où se déroule l’action. La jeune fille avait deux sœurs, en fait, toutes trois étaient des triplées. Hermy en était l’aînée. Caterina, dite Cate, suivait. Celle-ci, attirée, comme ses grands-parents paternels qu’elle était la seule à fréquenter, par la magie noire fit ses études à Durmstrang. Cela perturba énormément Hermy, qui malgré son attachement à la magie blanche, restait proche de Cate. Après tout, c’était sa sœur, et rien ne changerait jamais cela. Lucia, la troisième née, fit ses études à Beauxbatons.
Sang: Hermy est une sorcière de sang-mêlé : son père est un sorcier de sang « pur » et sa mère est une sorcière d'origine moldue.
Maison: Gryffondor